LES RUDIMENTS DU SECOURISME, MODULE 5: LA RÉANIMATION CARDIORESPIRATOIRE (RCR) ET LE DÉFIBRILLATEUR EXTERNE AUTOMATISÉ (DEA)

Plan du module 5:

1) Introduction

2) L’arrêt cardiaque

3) …la réanimation cardiorespiratoire (RCR)

4) Le défibrillateur externe automatisé (DEA)

5) Remarques finales sur le travail d’équipe…

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1) INTRODUCTION

La RCR, ou la réanimation cardiorespiratoire, est une méthode utilisée lorsqu’une personne est en arrêt cardiaque. La RCR consiste à effectuer des séries de 30 compressions thoraciques suivies de séries de 2 insufflations; elle permet d’alimenter le cerveau et d’autres organes vitaux en sang oxygéné jusqu’à l’arrivée d’intervenants médicaux avancés. Parce que notre inspiration est composée de 21 % d’oxygène et que notre expiration
en contient 16 %, même une expiration contient suffisamment d’oxygène pour maintenir une personne en vie.

2) L’ARRÊT CARDIAQUE


Un arrêt cardiaque se produit lorsque le cœur cesse de battre ou qu’il ne bat pas assez efficacement pour que le sang circule jusqu’au cerveau et aux autres organes vitaux. Dans des circonstances normales, un réseau de cellules spéciales dans le muscle cardiaque transmet des impulsions électriques qui coordonnent les contractions, permettant au cœur
de battre de façon rythmique. Lors d’un arrêt cardiaque, les impulsions électriques deviennent anormales et chaotiques. Le cœur perd ainsi sa capacité de battre de façon rythmique, ou encore il s’arrête complètement. Le système respiratoire et le système circulatoire sont très étroitement liés. Dès que la respiration cesse, il ne faut pas beaucoup de temps pour que le cœur cesse de battre.

L’arrêt cardiaque soudain


L’arrêt cardiaque peut se produire soudainement et sans signe avant-coureur; c’est ce qu’on appelle un arrêt cardiaque soudain. Les personnes qui ont des antécédents de maladie cardiovasculaire ou une malformation cardiaque congénitale sont plus à risque d’arrêt cardiaque soudain. Toutefois, l’arrêt cardiaque soudain peut se produire chez des personnes qui paraissent en santé et n’ont aucune maladie cardiaque ni aucun autre facteur de risque de la pathologie. Une personne qui subit un arrêt cardiaque soudain a peu de chance de survivre en l’absence de soins immédiats.


Mort clinique et mort biologique


La mort clinique survient lorsque la respiration s’arrête et que le cœur cesse de battre. Une personne qui n’a pas de pulsations cardiaques est cliniquement morte. Puisque les dommages permanents au cerveau ne surviennent pas avant 4 à 6 minutes, la mort clinique est réversible au moyen d’une intervention et de soins immédiats.

La mort biologique survient lorsque le cerveau est endommagé de façon irréversible, ce qui se produit après environ 8 à 10 minutes sans oxygène. C’est ce qu’on appelle parfois la «mort cérébrale».


Causes des arrêts cardiaques


Les maladies cardiovasculaires sont les causes les plus fréquentes des arrêts cardiaques. D’autres causes fréquentes sont les suivantes :

-Noyade

-Perte de sang importante

-Suffocation ou obstruction complète

-Électrocution

-Surdose

-Blessures graves à la poitrine

-Commotio Cordis (commotion cardiaque)

-Autres maladies ou anomalies du cœur.

Les maladies cardiovasculaires et certaines anomalies cardiaques congénitales (c’est-à-dire de naissance) peuvent accroître le risque d’arrêt cardiaque. Les urgences respiratoires peuvent aussi mener à un arrêt cardiaque. Par exemple, l’obstruction ou la noyade peuvent
interrompre l’approvisionnement du corps en oxygène, ce qui provoquera un arrêt cardiaque. Tous les organes du corps ont besoin d’un apport constant en oxygène pour fonctionner correctement, et le cœur ne fait pas exception. Les traumatismes sévères, les électrocutions et les surdoses sont d’autres causes possibles d’arrêt cardiaque.


Un arrêt cardiaque, lorsqu’il survient, met la vie de la personne en danger. Commencer la RCR (la réanimation cardiovasculaire), dont il sera question plus loin, est la priorité absolue. Une personne en arrêt cardiaque peut souffrir d’autres problèmes tels que de blessures à la tête, au cou ou à la colonne vertébrale. Cependant, ces blessures potentielles sont de priorité moindre lorsque vous entamez la RCR et utilisez un DEA (un défibrillateur externe automatisé).

Signes à observer en cas d’arrêt cardiaque


Les signes et les symptômes d’une personne victime d’un arrêt cardiaque sont les suivants :

-La personne s’effondre soudainement.

-La personne ne réagit pas et ne respire pas, ou elle ne réagit pas et a une respiration agonale (c’est-à-dire trop courte pour oxygéner le corps).

Que faut-il faire lorsqu’une personne est en arrêt cardiaque?

Il faut d’abord appeler du secours:

Demandez à quelqu’un d’appeler le 9-1-1 et d’apporter un DEA. Si vous êtes seul avec la personne, appelez vous-même le 9-1-1, procurez-vous un DEA, puis retournez donner les soins.

3) Il faut ensuite secourir la personne en pratiquant LA RÉANIMATION CARDIORESPIRATOIRE:

-Placez vos deux mains au centre de la poitrine de la personne.

-Donnez 30 compressions. Comprimez la poitrine à une profondeur d’au moins 5 cm (environ 2 pouces), en poussant fort à un rythme régulier. Laissez la poitrine se détendre après chaque compression (ne vous appuyez pas contre la poitrine de la personne). Le rythme des compressions thoraciques devrait se situer entre 100 et 120 compressions par minute (30 compressions en 15 à 18 secondes).

-Donnez 2 insufflations après avoir:

.ouvert les voies respiratoires au moyen de la technique de renversement de la tête/soulèvement du menton.

.avoir placé votre barrière de protection sur la bouche et le nez de la personne.

(Si vous utilisez un écran facial de plastique, recouvrez la bouche de la personne avec votre bouche et pincez-lui le nez. Si vous utilisez un masque de poche, assurez-vous qu’il est bien ajusté par-dessus la bouche et le nez.)

.Donnez 2 insufflations. Chaque insufflation doit durer une seconde et comprendre juste assez d’air pour que la poitrine commence à se soulever.

-Si les 2 insufflations pénètrent, répétez la série de 30 compressions et de 2 insufflations.

Poursuivez la RCR jusqu’à ce que…


Une fois que vous commencez la RCR, continuez d’effectuer des séries de 30 compressions thoraciques et de 2 insufflations jusqu’à ce que l’une ou l’autre des situations suivantes surviennent :

-Les paramédics vous remplacent.

-Un DEA est accessible, mais il n’y a personne d’autre qui peut appliquer les électrodes sur la poitrine de la personne.

-Un autre secouriste formé est disponible pour effectuer les compressions.

-Vous êtes seul et trop fatigué pour continuer.

-Les lieux deviennent non sécuritaires.

-Vous remarquez un signe de vie évident, comme un mouvement. Si la personne démontre un signe de vie évident, arrêtez la RCR et vérifiez ses points ABC (expliqués au module 2). Si la personne respire, placez-la en position latérale de sécurité (expliquée au module 2) et continuez de surveiller son état jusqu’à ce que les paramédics vous remplacent.

Précisions sur la réanimation cardiorespiratoire

a) Profondeur des compressions de RCR chez l’adulte

Lorsque vous donnez la RCR à un adulte, vous devez effectuer les compressions au milieu de la poitrine, sur la partie inférieure du sternum. Poussez fort et à un rythme régulier, en veillant à comprimer la poitrine d’au moins 5 cm (environ 2 pouces), tout en évitant de la comprimer excessivement, c’est-à-dire de plus de 6 cm (environ 2,5 pouces). Bien que des
compressions d’une profondeur de plus de 6 cm présentent un risque de blessure, ces blessures ne mettent généralement pas la vie de la personne en danger. Il est plus important de pousser fort à un rythme régulier que de s’inquiéter de pousser trop fort.

b) Rythme des compressions thoraciques


Les secouristes doivent effectuer les compressions thoraciques à une fréquence de 100 à 120 par minute. Le fait de compter à haute voix en effectuant les compressions peut vous aider à garder un rythme constant et régulier qui permet à la poitrine de se détendre adéquatement. Pour les compressions de 1 à 20, dites «un et deux et trois et quatre et cinq et…» jusqu’à 20. Quand vous arrivez à 21, dites les nombres sans ajouter le mot «et» entre chaque nombre : «vingt-et-un, vingt-deux, vingt-trois, vingt-quatre, vingt-cinq…», poussez avec le mot «vingt» et relâchez quand vous dites l’unité du nombre (ou avec la deuxième syllabe du nombre).

c) Détente de la poitrine


Vous devez éviter de vous appuyer sur la cage thoracique de la personne entre les compressions. Assurez-vous plutôt que la poitrine se détend complètement. C’est à cette étape que les artères coronaires du cœur se remplissent de sang et que le muscle cardiaque reçoit de l’oxygène. Si vous vous appuyez sur la poitrine de la personne entre les compressions thoraciques, le débit sanguin ne sera pas suffisant dans les artères coronaires, et cela pourrait entraîner la mort cardiaque. N’oubliez pas ce qui suit : la compression aide le cerveau, la détente aide le cœur.

d) Diminution des temps d’interruption


Pendant la RCR, vous devez réduire au minimum les interruptions lors des compressions thoraciques. Toute interruption diminue le nombre total de compressions données et, par conséquent, la quantité de sang qui circule. Les compressions créent aussi une pression dans les artères de la personne qui les reçoit. Lorsque les compressions sont interrompues, la pression artérielle chute, ce qui signifie que les premières compressions que vous donnez après l’interruption servent à rétablir la pression plutôt qu’à faire circuler le sang efficacement. Il faut limiter les interruptions aux interventions essentielles, comme la mise en place des électrodes du DEA sur la poitrine de la personne, l’attente pour permettre au DEA d’effectuer son analyse ou d’administrer une décharge électrique, et le dégagement des voies respiratoires. Ne faites une pause pour réévaluer les points ABC (vus au module 2) de la personne que s’il y a eu un changement évident dans l’état de la personne. Il faut éviter les longues étapes de ventilation (ouverture des voies respiratoires, insufflation excessive). Il n’est pas nécessaire de replacer vos mains après chaque compression – la main est placée au milieu de la poitrine.

En résumé, la réanimation cardiovasculaire se fait comme suit:

Position des mains: Deux mains au milieu de la poitrine

Compression: Au moins 5 cm (environ 2 pouces)

Insufflation: Juste assez d’air pour que la poitrine commence à se soulever (1 seconde par insufflation)

Série: 30 compressions et 2 insufflations

Fréquence des compressions: Fréquence de 100 à 120 par minute : 30 compressions en 15 à 18 secondes environ.

4) LE DÉFIBRILLATEUR EXTERNE AUTOMATISÉ (DEA)

Comme on l’a vu, la réanimation cardiorespiratoire peut aider à prévenir les dommages au cerveau et la mort en faisant circuler le sang oxygéné dans le corps. Un défibrillateur externe automatisé (DEA), pour sa part, peut corriger le problème sous-jacent chez certaines personnes qui font un arrêt cardiaque soudain.

Deux anomalies du rythme cardiaque en particulier, la fibrillation ventriculaire et la tachycardie ventriculaire, peuvent mener à un arrêt cardiaque soudain. Lorsqu’il y a fibrillation ventriculaire, le muscle cardiaque palpite faiblement (il «fibrille») plutôt que de se contracter fortement. Lorsqu’il y a tachycardie ventriculaire, le muscle cardiaque se contracte trop rapidement («tachy» signifie «rapide»). Ces deux fréquences nuisent à la capacité du cœur de pomper le sang et de le faire circuler dans tout le corps et peuvent mettre la vie en danger. Dans de nombreux cas, la décharge électrique administrée par un DEA peut corriger le rythme de la fibrillation ventriculaire ou de la tachycardie ventriculaire. La décharge électrique interrompt l’activité électrique du cœur assez longtemps pour lui permettre de développer spontanément un rythme efficace de lui-même. L’utilisation d’un DEA le plus tôt possible (de même que l’administration immédiate de la RCR) donne les meilleures chances de survie à la personne victime d’un arrêt cardiaque.

Il y a différents types de DEA sur le marché, mais leur fonctionnement est toujours similaire et comprend un guide d’utilisation visuel, des instructions vocales, ou les deux. S’il y a un DEA sur place, prenez connaissance de son emplacement, de son fonctionnement et des procédures connexes (par exemple, pour déclarer son utilisation ou remplacer les piles). Portez aussi attention à l’emplacement des DEA dans les lieux publics que vous fréquentez, comme les centres commerciaux, les aéroports, les centres récréatifs et les centres sportifs.


Dans plus de 80 % de tous les décès suite à un arrêt cardiaque soudain, le cœur de la personne aurait pu recevoir une décharge électrique qui lui aurait permis de reprendre son rythme normal (tachycardie ventriculaire ou fibrillation ventriculaire). En d’autres termes, la défibrillation aurait pu aider ces personnes. Si le cœur de la personne n’a aucune activité
électrique (asystolie ou ECG plat), la défibrillation ne sert à rien. Chaque minute d’attente avant la défibrillation réduit les chances de survie d’environ 7 à 10 %.

Utilisation d’un DEA

-Ouvrez et allumez le DEA.

-Préparez-vous à placer les électrodes du DEA :

.Retirez ou coupez tout vêtement ou sous-vêtement pour exposer la poitrine de la personne, et déplacez ou retirez tout objet (y compris les bijoux) qui pourrait entrer en contact avec les électrodes.

.Si la poitrine de la personne est mouillée, séchez-la à la serviette ou à l’aide d’une compresse de gaze. La peau sèche permet de coller correctement les électrodes du DEA.

.De petites quantités de poils sur la poitrine ne nuiront pas à l’adhérence des électrodes. Si la personne a beaucoup de poils sur la poitrine, rasez les zones où seront placées les électrodes à l’aide du rasoir fourni avec la trousse de préparation du DEA.

-Vérifiez si la personne a un stimulateur cardiaque implanté.

.Regardez si vous voyez une petite cicatrice et une bosse de la taille d’une boîte d’allumettes environ:

.Placez les électrodes du DEA à environ 2,5 cm (1 pouce) du stimulateur cardiaque (si la personne en porte un), en maintenant la même distance entre les électrodes:

-Suivez les instructions fournies par le DEA pour «analyser le rythme cardiaque»:

(La plupart des DEA commenceront à analyser automatiquement le rythme cardiaque, mais pour certains modèles, vous devrez peut-être appuyer sur le bouton «analyser» pour lancer le processus.)

-Si le DEA vous dit qu’il faut administrer une décharge électrique, faites-le de la façon suivante:

.Éloignez-vous et dites : «Je suis en sécurité, vous êtes en sécurité, tout le monde est en sécurité.»

.Assurez-vous que personne ne touche la personne qui reçoit les soins (puisque cela pourrait fausser la lecture et que ces personnes pourraient recevoir la décharge électrique elles aussi), et appuyez ensuite sur le bouton de décharge électrique:

-Après l’administration de la décharge électrique (ou si le DEA vous dit qu’il n’est pas
nécessaire d’administrer une décharge électrique), reprenez immédiatement la RCR, en
commençant par les compressions:

-Continuez de suivre les instructions automatisées du DEA.

Le DEA continuera de vérifier le rythme cardiaque toutes les deux minutes. Écoutez les instructions de DEA, et continuez de pratiquer la RCR et d’utiliser le DEA jusqu’à ce que vous remarquiez un signe de vie évident ou jusqu’à l’arrivée des paramédics. Si vous remarquez un signe de vie évident, arrêtez la RCR, mais laissez le DEA en marche, et les électrodes en place sur la poitrine de la personne. Continuez de suivre les instructions automatisées du DEA.

5) REMARQUES FINALES SUR LE TRAVAIL D’ÉQUIPE LORSQUE DEUX SECOURISTES PORTENT SECOURS À UNE PERSONNE EN ARRÊT CARDIAQUE


N’oubliez pas que lorsque vous pratiquez la RCR, votre objectif est de donner des compressions de grande qualité, de la force appropriée et à la fréquence appropriée, et de réduire au minimum l’interruption des compressions. Si vous êtes le seul secouriste formé sur les lieux, vous commencerez à vous fatiguer en donnant la RCR, et la qualité de vos
compressions diminuera. Vous devrez aussi interrompre la RCR pour préparer le DEA à l’utilisation lorsqu’il arrivera, ce qui signifie que le sang oxygéné ne circulera pas dans le corps de la personne durant ce temps.

Le travail d’équipe peut accroître les chances de survie de la personne en arrêt cardiaque. Les secouristes peuvent partager la responsabilité des compressions et se remplacer toutes les deux minutes. Cette pratique réduit la fatigue et permet de donner des compressions de plus grande qualité. La présence de deux secouristes ou plus sur les lieux limite aussi l’interruption des compressions thoraciques à l’arrivée du DEA. Un secouriste doit commencer la RCR pendant qu’un deuxième secouriste appelle le 9-1-1, obtient le DEA et le prépare à l’utilisation en allumant le dispositif, en appliquant les électrodes sur la poitrine de la personne et en branchant le câble de raccordement, au besoin.

Le secouriste qui donne la RCR ne doit pas s’arrêter avant que le DEA soit prêt pour analyser le rythme du cœur de la personne, et que le deuxième secouriste demande à tout le monde de s’éloigner. Pendant l’analyse du DEA, les secouristes doivent inverser les rôles. Le secouriste qui se chargera de donner les compressions devrait placer ses mains juste au-dessus de la poitrine de la personne afin de pouvoir commencer immédiatement les compressions dès que le DEA indique que la décharge électrique a été administrée ou qu’il n’y avait pas lieu d’administrer une décharge. Les secouristes doivent ensuite inverser les rôles chaque fois que le DEA analyse le rythme du cœur de la personne, ce qui se produit toutes les deux minutes.


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Pour mieux saisir en quoi consiste la RCR (la réanimation cardio-respiratoire) et comment utiliser un DEA (défibrillateur externe automatisé), voici une vidéo de la Croix-Rouge sur le sujet: https://www.youtube.com/watch?v=n9bGW2Vr-RM.

En guise de complément, on peut regarder une vidéo belge très bien faite, mais qui contient évidemment des particularités locales: https://www.youtube.com/watch?v=ENLDNkzNI2E.

Il va de soi que RCR et DEA exigent un entraînement pratique dans le cadre d’une formation spécialisée.

Ici, nous en sommes au stade préliminaire de la sensibilisation.

Il est cependant important de pouvoir répondre par écrit aux questions suivantes, au besoin en se reportant au texte du présent module:

1. En quoi consiste la réanimation cardiovasculaire (RCR)?

2. Quand est-il nécessaire de pratiquer la RCR?

3. Comment faut-il procéder pour mettre en application la RCR?

4. Qu’est-ce qu’un DEA?

5. Quand est-il opportun d’utiliser un DEA?

6. Comment convient-il d’utiliser un DEA?

(Fin du module 5)